Mal payés, peu formés, ils accompagnent les élèves handicapés.

Depuis des années, la politique est à l’inclusion : le fait de scolariser en milieu ordinaire des élèves en situation de handicap. Pour ce faire on fait appel aux AVS (auxiliaires de vie scolaire) qui, bien que précieux, sont sous un statut d’extrême précarité : à peine 700 euros par mois, mal formés… La grogne monte.

Sources :
La Voix Du Nord

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